Ils habitent toute l'année dans un camping
Pour beaucoup, le camping est synonyme de vacances. Pour les résidents à l'année du Pont-du-Rupé ou de la Bouriette, c'est un mode de vie et le moyen d'avoir un toit pas trop cher au-dessus de la tête.
Début septembre, c'est l'heure, où d'ordinaire les campeurs rangent toiles et piquets jusqu'à l'année prochaine. Les terrains se vident et prennent des airs de désert automnal. Sauf quelques-uns. Autour de Toulouse, trois campings reçoivent des résidents à l'année : celui du Pont-du-Rupé, à Sesquières, celui de La Bouriette à Saint-Martin du Touch et celui des Violettes à Deyme.
Au Pont-du-Rupé, sur 180 emplacements, une centaine restent ouverts à l'année, pas seulement pour accueillir des touristes d'arrière-saison. Cinquante personnes y vivent en permanence en caravane ou en mobil-home, pour quelques semaines, ou comme Guy, le doyen des occupants, depuis onze ans.
Pour beaucoup, le camping est synonyme de vacances. Pour les résidents à l'année du Pont-du-Rupé ou de la Bouriette, c'est un mode de vie et le moyen d'avoir un toit pas trop cher au-dessus de la tête.
Début septembre, c'est l'heure, où d'ordinaire les campeurs rangent toiles et piquets jusqu'à l'année prochaine. Les terrains se vident et prennent des airs de désert automnal. Sauf quelques-uns. Autour de Toulouse, trois campings reçoivent des résidents à l'année : celui du Pont-du-Rupé, à Sesquières, celui de La Bouriette à Saint-Martin du Touch et celui des Violettes à Deyme.
Au Pont-du-Rupé, sur 180 emplacements, une centaine restent ouverts à l'année, pas seulement pour accueillir des touristes d'arrière-saison. Cinquante personnes y vivent en permanence en caravane ou en mobil-home, pour quelques semaines, ou comme Guy, le doyen des occupants, depuis onze ans.